Délocalisation exceptionnelle pour le jury du 12e Prix Denis-Lalanne. Il troque les boiseries légendaires du salon Goncourt, chez Drouant, pour d’autres boiseries non moins légendaires : celle du salon Marat, au restaurant Le Procope, où s’installaient jadis Voltaire et Rousseau.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Une grande dame du tennis et une infatigable lectrice. Amélie Mauresmo, directrice du tournoi de Roland-Garros, et jurée du Prix Denis-Lalanne, feuillette avec délice les vieilles reliures dont s’enorgueillit Le Procope.
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À gauche, la romancière Maylis de Kerangal, invitée d’honneur, ne cache pas son bonheur de retrouver un complice en la personne de David Foenkinos, autre romancier de prestige et président du jury. Pour sa douzième édition, le très francophone Prix Denis-Lalanne l’affirme haut et fort : littérature, d’abord !
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Rencontre. Sous le regard de Christian Despont, journaliste suisse, trois fois lauréat du Prix Denis-Lalanne, David Foenkinos fait connaissance avec Géraldine Pons, directrice des sports d’Eurosport France et fidèle jurée.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Vent de jeunesse sur le 12e Prix Denis-Lalanne avec deux nouveaux jurés ès qualités. Victor Foenkinos, étudiant en journalisme, et Inès Lagdiri-Nastasi, journaliste à France Télévisions, nous l’assurent : la valeur n’attend pas le nombre des années !
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Belle équipe ! Entre Sylvie de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix, et Christophe Penot, le fondateur et organisateur du Prix Denis-Lalanne, Christian Despont et Géraldine Pons retrouvent Alain Frachon, un autre fidèle juré.
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Christophe Penot et Gilles Moretton accueillent Stéphane Morel, nouveau directeur général de la Fédération Française de Tennis. Bienvenue au sein de notre jury !
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Entre Gilles Moretton et Christophe Penot, Maylis de Kerangal découvre le portfolio d’art spécialement imprimé à son nom et à celui de David Foenkinos. « Émue, touchée », dira-t-elle.
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Une œuvre d’art et un geste tennistique créé par le peintre Ivan Messac pour le 12e Prix Denis-Lalanne. Amélie Mauresmo et Alain Frachon épatés !
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Dialogue de champions. Pour mémoire, rappelons que Maylis de Kerangal a reçu le Prix Médicis en 2010 pour son roman Naissance d’un pont, quand Christian Despont, lui, compte trois Prix Denis-Lalanne (millésime 2019, 2020, 2022) à son palmarès !
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Dialogue aussi. Avec Gilles Moretton qui assure à Géraldine Pons que le prochain tournoi de Roland-Garros, comme les prochains Jeux olympiques, seront des grands moments de tennis.
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Dialogue encore… Homme de radio et ancien directeur éditorial du Monde, et ancien tennisman lui-même, Alain Frachon est toujours ravi de rappeler à Amélie Mauresmo l’invincible admiration que lui suggère la carrière de celle qui fut numéro 1 mondiale du tennis.
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Bienvenue et merci. Au nom de la Fédération Française de Tennis et de son président Gilles Moretton, et dans la tradition d’accueil chère au Prix Denis-Lalanne, Christophe Penot ouvre la plus romanesque de toutes les éditions de ce prix journalistique qui récompense chaque année le meilleur article de la presse francophone consacré au tournoi de Roland-Garros.
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La table du 12e Prix Denis-Lalanne, côté droit. On reconnaît Alain Frachon, Philippe Peyrat, Stéphane Morel, David Foenkinos, Inès Lagdiri-Nastasi, Victor Foenkinos.
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La table du 12e Prix Denis-Lalanne, côté gauche. Avec Géraldine Pons, Gilles Moretton, Maylis de Kerangal, Christian Despont, Amélie Mauresmo et Alain Frachon.
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Devant des jurés particulièrement attentifs, Maylis de Kerangal souligne que le sport, et notamment le tennis, a tenu une place particulière dans son œuvre. On rappellera qu’elle est aussi l’auteure de l’un des rares chefs-d’œuvre de la littérature contemporaine, Réparer les vivants, traduit en une trentaine de langues.
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Cette fois, les débats sont lancés ! Selon la tradition, David Foenkinos, aux côtés de Philippe Peyrat et de Stéphane Morel, présente le millésime 2023 qui rassemble dix-huit articles issus de la presse française, belge et suisse.
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Premier article (par ordre alphabétique) : « Indétrônable », de Lucile Alard, publié dans L’Équipe. Un bel et bon reportage sur le vif qui sera longuement commenté.
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David Foekinos a passé la parole à Stéphane Morel, sous le regard d’Inès Lagdiri-Nastasi et de Victor Foenkinos. Un néophyte et scrupuleux lecteur qui ne cache pas son admiration devant l’article inattendu de Laurent Favre — la première pierre d’un passionnant débat…
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Souriants et concentrés : l’esprit Lalanne ! Mais on sent naître déjà, parmi des jurés évidemment totalement libres, des premières fractures…
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Onzième Prix Denis-Lalanne pour le juré Philippe Peyrat, aux côtés de Stéphane Morel. Un jovial et fin lecteur qui sait qu’un bon mot vaut parfois mieux qu’un long discours !
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Très consciencieusement, comme chaque année, Philippe Peyrat et Alain Frachon ont lu, relu, annoté. Pour les convaincre, Amélie Mauresmo aura fort à faire !
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Une championne à l’assaut. Avec sa grinta habituelle, Amélie Mauresmo défend phrase à phrase, sinon mot à mot, le long portrait que Franck Ramella a consacré à Novak Djokovic dans les colonnes de L’Équipe.
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« Ma chère Amélie… » À son tour, Christian Despont monte au filet pour défendre son confrère et compatriote Laurent Favre — les joies de l’échange !
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Maylis de Kerangal, Christian Despont, Amélie Mauresmo à l’heure du break. Des points de vue ardemment défendus, mais toujours respectueusement écoutés.
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Gilles Moretton, président fédéral, ramène la balle au centre. Pour lui, il faut remettre en tête l’article de Jean-Julien Ezvan paru dans Le Figaro : « Alcaraz, la force et la magie d’un sourire ».
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Elle aussi a tout lu, tout relu, tout annoté. Sous le regard de Gilles Moretton et de Maylis de Kerangal, l’expérimentée Géraldine Pons avance des arguments qui pèseront lourd au moment du premier vote.
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Un match de plus en plus ouvert, un débat de plus en plus passionné, un jury de plus en plus indécis. Stéphane Morel, David Foenkinos et Inès Lagdiri-Nastasi à l’écoute de Géraldine Pons.
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Comment choisir parmi tant d’articles qui ne dépareraient pas au palmarès ? Christophe Penot partage son souci avec Géraldine Pons, Gilles Moretton et Maylis de Kerangal.
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« Alors, qui choisissons-nous ? » Face à un millésime particulièrement relevé, David Foenkinos, président du jury, partage sa perplexité avec Inès Lagdiri-Nastasi.
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L’heure du vote pour Gilles Moretton, Maylis de Kerangal et David Foenkinos. Règle du premier tour : chaque juré peut retenir cinq articles parmi les dix-huit en lice — donc en éliminer treize, pourtant remarquables !
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Inès Lagdiri-Nastasi et David Foenkinos rassemblent les premiers bulletins de vote, tandis que Stéphane Morel hésite encore. De son côté, en vieil habitué, Philippe Peyrat attend les comptes…
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L’heure des comptes, justement ! Après un long débat, le premier tour laisse en tête les articles de Laurent Favre et Franck Ramella (dix voix chacun) et de Jean-Julien Ezvan (huit voix). Suivent, avec sept voix, mais non retenus pour le deuxième tour, l’article de Damien Burnier (« En corps et encore », paru dans Le Journal du Dimanche) et de Quentin Moynet (« Seul sur sa planète », paru dans L’Équipe).
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Pause, le temps de la photographie officielle du Jury du 12e Prix Denis-Lalanne – Trophée Roland-Garros signée par Jean-Luc Lamaère. De haut en bas et de gauche à droite, on reconnaît : Victor Foenkinos, Gilles Moretton, Christian Despont, Christophe Penot, Alain Frachon, Philippe Peyrat, David Foenkinos, Maylis de Kerangal, Stéphane Morel, Géraldine Pons, Inès Lagdiri-Nastasi et Amélie Mauresmo.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Le débat a repris. Pour Amélie Mauresmo, Alain Frachon et Philippe Peyrat, il faut maintenant trancher entre Laurent Favre (« Fermez les yeux et écoutez Roland-Garros », paru dans Le Temps), Jean-Julien Ezvan (« Alcaraz, la force et la magie d’un sourire », paru dans Le Figaro) et Franck Ramella (« Il était une foi Djokovic », paru dans L’Équipe).
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Digne fils du père ! Tandis qu’Inès Lagdiri-Nastasi se replonge dans les textes, Victor Foenkinos fait valoir les arguments d’une nouvelle génération de lecteurs qui cherche dans la presse écrite des développements que l’information immédiate peine souvent à offrir.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Alors qu’Amélie Mauresmo essaie de convaincre Alain Frachon du génie de l’article consacré à Novak Djokovic — « Il m’apprend encore des choses », argue-t-elle —, Inès Lagdiri-Nastasi, sous les yeux de Maylis de Kerangal, Gilles Moretton, Géraldine Pons et des Foenkinos père et fils, redit son admiration pour l’excellent « Sourire » de Carlos Alcaraz. Balle de match ?
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Désormais, Stéphane Morel en est sûr, tandis que s’annonce un troisième et dernier tour entre Jean-Julien Ezvan et Laurent Favre… Quel que soit le lauréat, le millésime 2023 consacrera forcément un très bel article, à l’information originale, au style réjouissant.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Pour Géraldine Pons, sous le regard de Gilles Moretton, il s’agit donc de choisir entre le « silence de Roland-Garros » et le « sourire d’Alcaraz ». Mais comment trancher ? Sur quel critère ?…
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
D’un bout à l’autre de la table, dernière passe d’armes (très amicale) entre Amélie Mauresmo et Géraldine Pons sur les vertus incontestables des deux articles. Des convictions, oui, jusqu’au bout !
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Cette fois, et dans la belle humeur, les dés sont jetés pour Christian Despont et Amélie Mauresmo. Quant à notre cher Alain Frachon, il pèse encore, en toute conscience.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Attentif, jovial, formidable, le président du jury David Foenkinos téléphone à Laurent Favre, journaliste au Temps, pour lui annoncer qu’il est le douzième lauréat du Prix Denis-Lalanne. Au troisième tour de scrutin, son article a eu la préférence, avec huit voix contre quatre à Jean-Julien Ezvan.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Les félicitations de Maylis de Kerangal, invitée d’honneur. Une conversation douce entre deux stylistes qui, forcément, se comprennent.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Le mot de la fin pour Gilles Moretton, président de la Fédération Française de Tennis. Un immense et sincère « Bravo ! » pour Laurent Favre, journaliste suisse au Temps présent chaque année dans les tribunes du tournoi de Roland-Garros.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Luc Lamaère
Le court Philippe-Chatrier à Roland-Garros, à l’heure des entraînements, jeudi 30 mai 2024. Un écrin superbe pour la cérémonie de remise du 12e Prix Denis-Lalanne.
© Cristel Éditeur d’Art / Jean-Charles Caslot
Aux côtés de Gilles Moretton, président de la Fédération Française de Tennis, Christophe Penot, fondateur du Prix Denis-Lalanne, résume cette journée en deux mots : merci et bravo ! Merci à la Fédération Française de Tennis de soutenir année après année — seule fédération nationale à le faire — les chantres de la presse écrite, garants de la mémoire du tournoi ; bravo aux journalistes du sport qui démontrent, dans l’urgence d’un bouclage, d’indiscutables talents.
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Gilles Moretton le confirme : un engagement fédéral fort pour que perdurent, au siècle de l’image, les diversités de la presse francophone. Diversités d’autant plus importantes que le stade Roland-Garros, accueillera bientôt les épreuves de tennis de Jeux olympiques appelés à faire date.
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Invité de prestige ! Sous le regard d’Alain Frachon, le peintre Ivan Messac, auteur de l’estampe d’art du 12e Prix Denis-Lalanne, témoigne à son tour de son admiration pour les journalistes de sport.
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David Foenkinos aux commandes ! À l’invitation de Gilles Moretton et de Christophe Penot, l’auteur de La Délicatesse dresse un premier éloge du lauréat, Laurent Favre, chef des sports du quotidien suisse Le Temps.
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Dans le vibrant décor du court Philippe-Chatrier, David Foenkinos et Gilles Moretton remettent à Laurent Favre le portfolio récompensant le lauréat. Avec, soigneusement signé par l’artiste Ivan Messac, un tirage d’art sur papier unique réalisé par Ariel Termine à Paris, chez Clot, Bramsen et Cie, le plus ancien atelier lithographique du monde qui accueillait jadis Munch, Renoir, Bonnard et tant d’autres…
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Applaudissements mérités. Rappelons que Laurent Favre a déjà été lauréat du 7e Prix Denis-Lalanne qui consacrait le meilleur article de la presse francophone dédié au tournoi de Roland-Garros 2018.
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Laurent Favre, 55 ans. Depuis 2015, avec des articles aux thèmes parfaitement choisis, il régale les dizaines de milliers de lecteur du quotidien suisse Le Temps.
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Entre Stéphane Morel, Alain Frachon, Christophe Penot et Gilles Moretton (en partie masqué), Laurent Favre reçoit l’hommage sincère d’Amélie Mauresmo, l’ancienne championne, directrice du tournoi de Roland Garros. Et ardente jurée !
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Crayon à la main, Estelle Couderc est au premier rang de l’assistance. Elle citera le lendemain, dans Le Quotidien de Roland-Garros, la belle judicieuse remarque de David Foenkinos évoquant le double lauréat : « Tu peux l’avoir plusieurs fois, un peu comme Romain Gary et le prix Goncourt, sauf que tu n’as pas a changer d’identité, ni à prendre un pseudo ! ».
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Confraternité ! En compagnie de David Foenkinos, de Gilles Moretton et de Christophe Penot, Franck Ramella, journaliste à L’Équipe, troisième du présent millésime, et Jean-Julien Ezvan, journaliste au Figaro, deuxième, ont rejoint Laurent Favre pour immortaliser ce podium.
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Elle restera comme la photographie officielle de la remise du 12e Prix Denis-Lalanne au stade Roland-Garros. De gauche à droite, on reconnaît Stéphane Morel, Alain Frachon, Jean-Julien Ezvan, Ivan Messac, Franck Ramella, Victor Foenkinos, Amelie Mauresmo, Laurent Favre, David Foenkinos, Gilles Moretton, Christophe Penot, Inès Lagdiri-Nastasi.
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Deux présidents pour un champion ! Entre David Foenkinos et Gilles Moretton, Laurent Favre ne peut se défendre d’une certaine émotion.
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« Oui, ému et surtout très heureux », confirme Laurent Favre à Gilles Moretton et Christophe Penot. Et de remercier vivement, en compagnie de Franck Ramella et de Jean-Julien Ezvan, la Fédération Française de Tennis pour son indéfectible soutien au travail passionné, mais souvent difficile, de la presse écrite.
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Aux côtés de Franck Ramella, Laurent Favre se tourne vers David Foenkinos, romancier déjà consacré par le Prix Renaudot et le Prix Goncourt des lycéens. Avec l’idée d’écrire comme lui, en faisant attention aux êtres et aux choses…
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Dernier arrêt sur le 12e Prix Denis-Lalanne. Parce qu’il faut songer, pour Franck Ramella, Jean-Julien Ezvan, Gilles Moretton, Laurent Favre et Christophe Penot, au millésime 2024 dont les matchs, en cette journée du 30 mai, ont déjà commencé…
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