L’inimitable tradition d’accueil du Prix Denis-Lalanne et de Roland-Garros. Chaque juré pourra trouver sur la table, spécialement dédicacé, le dernier ouvrage de l’académicien Frédéric Vitoux, invité d’honneur de cette quatrième édition.
© Cristel Éditeur d’Art – Émilie Hautier
C’est parti pour un nouveau et joyeux millésime. Philippe Peyrat, directeur du département mécénat sponsoring du groupe Engie (ex-GDF Suez), Alain Frachon, directeur éditorial du quotidien Le Monde et président de ce quatrième jury, Christophe Penot, l’organisateur, Alain Deflassieux, ancien grand reporter à L’Équipe, et Jean Couvercelle n’ont plus qu’à suivre Jean Gachassin, le président de la Fédération Française de Tennis.
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Double mixte ou double messieurs ! De gauche à droite, on peut reconnaître Sylvie Poulain de Ligt, déléguée par la Fédération Française de Tennis à l’organisation du Prix, en compagnie d’Alain Deflassieux ; Jean Couvercelle et Alain Frachon ; Denis Lalanne et Frédéric Vitoux ; Christophe Penot et Christopher Clarey, envoyé spécial du New York Times à Roland-Garros.
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Frédéric Vitoux, prestigieux et amical. Un invité d’honneur qui se veut d’abord le premier admirateur d’un journaliste écrivain nommé… Denis Lalanne !
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Philippe Peyrat, Sophie Alexandre, Frédéric Vitoux, Guy Forget, Alain Deflassieux, Christopher Clarey, Jean Couvercelle, Alain Frachon, Jean Gachassin, Christophe Penot et Géraldine Pons. Ils posent tous ensemble pour entourer leur cher Denis Lalanne.
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L’accueil, encore et toujours. Au nom de la Fédération Française de Tennis, Christophe Penot présente un à un les jurés appelés à partager, en compagnie de Denis Lalanne, la quatrième levée du prix éponyme.
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« L’année prochaine, arrivé en fin de mandat, je ne serai plus avec vous. Mais qu’est-ce que je serai fier d’avoir soutenu la création de ce Prix Denis-Lalanne », prévient le président fédéral. L’hommage du cœur.
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Un nouveau visage pour partager l’aventure francophone du Prix Denis-Lalanne. Chacun aura reconnu Guy Forget, l’ancien champion promu désormais à la tête du plus prestigieux tournoi du tennis français.
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« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement », souligne Frédéric Vitoux à la suite de Boileau. Géraldine Pons et Guy Forget en sont les premiers convaincus.
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Spectateur et patient acteur. Jean Couvercelle, directeur fondateur de Tennis Magazine, attend son heure pour monter au filet !
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Toujours faire grimper l’attention du lecteur. Sous le regard de Sophie Alexandre, directrice de la communication et du marketing de la Fédération Française de Tennis, Alain Frachon joint le geste à la parole !
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Il suit tous les tournois de tennis dans le monde pour le New York Times. En parfait francophone, Christopher Clarey apportera bientôt l’analyse d’un éminent professionnel formé à la presse anglo-saxonne.
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Conciliabule autorisé entre Philippe Peyrat et Christophe Penot. Ou comment bien peser le pour et le contre entre les deux articles finalistes.
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Savoir travailler sérieusement sans se prendre au sérieux ! Un vieil adage qui fait le bonheur de Jean Gachassin et d’Alain Deflassieux, l’ancien suiveur aux quarante-trois tournois de Roland-Garros !
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Il a fêté son 90e anniversaire le 1er avril 2016. Entouré d’Alain Deflassieux et de Jean Couvercelle, Denis Lalanne reçoit l’hommage de tous les jurés du Prix qui porte son nom.
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Avec Christophe Penot, fondateur du Prix Denis-Lalanne. Un immense respect, une immense affection.
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En compagnie des jurés, Christophe Penot ouvre la 4e cérémonie de remise du Prix en saluant Jean Gachassin qui se prépare à terminer son dernier mandat. « Les hommes passent, le tournoi et le Prix restent », répondra le président fédéral.
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Jean Gachassin salue pour sa part Frédéric Vitoux, l’invité d’honneur de cette quatrième édition. Á leur côté, deux spectateurs attentifs : le peintre Peter Klasen et Alain Deflassieux, le reporter aux quarante-trois tournois de Roland-Garros.
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À l’invitation de Sophie Alexandre, Alain Frachon, président du quatrième jury, annonce les résultats. Il appelle donc Cyrille Poméro, journaliste pour La Dépêche du Midi et nouveau lauréat.
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Cyrille Poméro justement applaudi par l’ensemble du jury. Il va être honoré devant ses confrères réunis au Bar de la presse, dans l’enceinte du court Philippe-Chatrier.
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La récompense tant recherchée. Un tirage unique sur German Etching de l’estampe spécialement créée par Peter Klasen et tirée chez Clot, Bramsen & Georges, le plus ancien atelier lithographique du monde.
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Le bel instantané entre Jean Gachassin et Denis Lalanne, saisi par Émilie Hautier, photographe officielle du Prix. Les grandes histoires du sport sont toujours des histoires d’amitiés.
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Cyrille Poméro expliquera que ce fut pour lui le plus beau des compliments. Il évoque le soutien affiché de Guy Forget à son travail d’infatigable journaliste de terrain.
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Un autre soutien précieux. Sous le regard de Denis Lalanne et de l’éditeur d’art Christophe Penot, l’Allemand Peter Klasen, iconique fondateur de la Figuration narrative dont les œuvres sont conservées dans plus de quatre-vingt musées dans le monde, ajoute son prestigieux paraphe sur le portfolio du lauréat.
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