Le 5e Prix Denis-Lalanne
Transparence et élégance. Une sorte de clin d’œil pour ouvrir le dîner du jury du 5e Prix Denis-Lalanne soutenu, au nom de Roland-Garros et de la francophonie, par la Fédération Française de Tennis.
© Cristel Éditeur d’Art / Émilie Hautier
Bernard Giudicelli a été élu président de la Fédération Française de Tennis le 18 février 2017. Un nouveau compagnon de route pour Denis Lalanne venu le saluer en compagnie de Christophe Penot, l’organisateur.
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De belles habitudes qui perdurent. Les nouveaux jurés se retrouvent dans les salons de la Fédération Française de Tennis, face au court Philippe-Chatrier.
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Un grand homme de presse pour présider aux destinées du cinquième jury. Directeur général des quarante-quatre radios du réseau France Bleu, Éric Revel est accueilli par Philippe Peyrat, Géraldine Pons et Christophe Penot.
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Un trône quasi officiel pour notre inestimable Denis. Il est entouré de Stephan Post, Alain Frachon, Sarah Pitkowski, Éric Revel, Géraldine Pons, Philippe Peyrat, Bernard Giudicelli, Guy Forget, Jean-Philippe Gatien, Stéphanie Tortorici et Christophe Penot.
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Le bonheur d’être jurés. Bernard Giudicelli, Stéphanie Tortorici et Denis Lalanne découvrent le portfolio contenant la lithographie spécialement réalisée par le peintre Philippe Cognée pour le 5e Prix Denis-Lalanne.
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La parole est à Bernard Giudicelli. Pour redire aux jurés ce qu’il a écrit en ouverture de cette cinquième édition : « Parmi les nombreuses tâchent qui incombent à un président nouvellement élu, il en est certaines des plus agréables, et la présidence d’honneur du Prix Denis-Lalanne est bien de celles-là. »
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Vice-président délégué de la Fédération Française de Tennis en charge de la communication et du marketing, Stephan Post confirme les desseins résolument francophones du Prix Denis-Lalanne. Á ses côtés, on peut reconnaître Sarah Pitkowski, ancienne championne de tennis reconvertie dans la radio et la télévision.
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La Fédération Française de Tennis alliée du projet olympique. Une raison supplémentaire d’accueillir comme invité d’honneur Jean-Philippe Gatien, le directeur des Sports de la candidature pour Paris 2024.
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Dix-neuf articles candidats, douze jurés et un futur lauréat. Auprès de Stéphanie Tortorici, Denis Lalanne se régale !
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Fidèle à son habitude, Géraldine Pons lit, relit, souligne. Pour ce qui le concerne, Alain Frachon, revenu comme juré apporter sa grande connaissance du tennis et de la presse, semble avoir du mal à trancher.
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Éric Revel, le président du jury, a déjà signalé ses préférences. Il les défend pied à pied sous le regard de Sarah Pitkowski.
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Échange d’arguments avant la décision finale. On peut admirer les conciliabules entre Denis Lalanne et Guy Forget, entre Géraldine Pons et Alain Frachon.
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Deux chefs réunis dans la même salle ! C’est aussi l’heure du vote pour l’invité d’honneur Jean-Philippe Gatien.
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Directrice de la rédaction de « Tennis Magazine », Stéphanie Tortorici a voté. Comme tous les jurés, Bernard Giudicelli attend maintenant le dépouillement des bulletins.
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En dépit de l’heure tardive, Denis Lalanne n’a pas manqué de joindre Jean-Julien Ezvan, nouveau lauréat. Une joyeuse émotion partagée avec Bernard Giudicelli, Stéphanie Tortorici, Guy Forget et Jean-Philippe Gatien.
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Le traditionnel livret de presse spécialement édité pour la remise du Prix. Afin de saluer Jean-Julien Ezvan et de pouvoir relire son article primé.
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« Merci, cher Denis, de nous offrir ton nom pour cette si belle aventure. » L’amical salut de Christophe Penot, auquel s’associe bien sûr la Fédération Française de Tennis.
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Stephan Post et Jean-Philippe Gatien ont pris la parole pour appeler Jean-Julien Ezvan. Derrière, on reconnaît Franck Ramella, le troisième lauréat.
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Un allié de poids délégué par Éric Revel ! Jacques Vendroux, célèbre voix du football, vient prêter main forte à Jean-Philippe Gatien pour remettre à Jean-Julien Ezvan le portfolio attribué au lauréat.
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Jacques Vendroux, Guy Forget, Denis Lalanne et Jean-Philippe Gatien entourent l’heureux vainqueur. La lithographie à tirage unique sur Japon nacré est signée par Philippe Cognée, le maître de la peinture à la cire.
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« Nous ne pouvions pas mieux choisir », explique Guy Forget, le directeur du tournoi. Denis Lalanne et Géraldine Pons en sont les premiers convaincus.
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La joie sereine de Jean-Julien Ezvan. Un grand professionnel entré au Figaro en 1997 — et, chacun en témoigne, un confrère attentif, particulièrement apprécié.
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Derniers sourires pour la photographie officielle. Le 5e Prix Denis-Lalanne est désormais entré dans l’histoire de Roland-Garros.
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